La danse comme évocation du regard et du geste architectural.
Une danse sculptée par une partition sonore spatialisée aux allures de paysages, de sons d'insectes, drones évolutifs, techno froide et minimale tissée de courtes instrumentales baroques. Entre vestiges et architectures, des lignes, des matières, des trouées de lumière, des espaces à parcourir... lieux propices à la résonance de nos jardins intérieurs.
« Mon cœur est un Jardin,
Clos de pierre et de grâce.
Ton cœur est une forêt d'oiseaux de mystère.
Habitons ensemble les trouées de lumière. » Stéphane Cavallini. Juin 2016.
La danse comme évocation du regard et du geste architectural. Le bâti, le décor, l'environnement comme sources premières d'inspiration d'une danse habitée, singulière, car éprouvée à cet endroit précis.